Châteaux en Creuse

 

 Le château de Boussac 

Ce château classé monument historique fut construit aux XIIème et XIIIème siècle. Très abîmé pendant la guerre de Cent ans, Jean de Brosse (1375-1433), compagnon de Jeanne d'Arc (1412-1431) surnommé "le maréchal de Boussac", le restaura au début du XVème siècle. 
George Sand avait sa chambre dans le château. Elle y écrit "Journal d'un voyageur pendant la guerre" durant la guerre de 1870.
C'est un magnifique lieu : tapisseries, meubles anciens, boiseries anciennes...

 

Le château de Villemonteix (Saint Pardoux les Cards)

 Le château du Fôt (Saint Amand)

 Les ruines du château de Crocq 

 

 05 55 67 49 02

Don de la famille Cornudet des Chomettes à la commune de Crocq en 1989. Vestiges d'un imposant chateau fort érigé en 1190 par les comtes d'Auvergne.
D'une hauteur d'une vingtaine de mètres, avec des murs de trois mètres d'épaisseur à la base, elles témoignent de l'importance stratégique de Crocq en ces époques troublées.
Crocq, appartenant à l'Auvergne, mais en limite du Limousin était une place forte du royaume de France, comme attestent les lettres patentes de Charles VII en 1426.
Un fac-similé est visible à l'écomusée.

Que pouvez vous faire autour ?

- Visite de l’édifice (exposition, vente de produits du terroir, découverte de l’architecture médiévale, etc.)
- La table d’orientation à leur sommet permet d’apercevoir la chaîne des Puys et le massif du Sancy. Panorama à 360°.
- Découverte d’un jardin médiéval.

Ouverture :
Mai, juin et septembre : tous les jours sauf le lundi, de 10h30 à 12h et de 14h à 18h.
Juillet - août : tous les jours de 10h à 12h30 et de 14h30 à 19h.

    

Le château de Chantemille (Ahun

)

 

Le château de La Chezotte (Ahun)

Le Château de la Chezotte est à Ahun, dans le département de la Creuse, en région Limousin, en France. Sa construction date du XVe siècle. Il est de style médiéval. Le Château de Chezotte est privé et fermé au Public.

Coordonnées par GPS : 46° 05' 19" Nord et 2° 00' 49" Est

 

Le château de Massenon (Ahun)

 

Le château d'Etangsannes (Saint Chabrais)

Le château de Haute Faye (Issoudun Létrieix)

Le château d'Orgnat (Saint Dizier la Tour)

Le château de Chiroux (Peyrat la Nonière)

Le château de Mazeau (Peyrat la Nonière)

 

Le château de la Vaureille (Peyrat la Nonière)

Le château de Champagnat

Le château de Peyrudette (Champagnat)

Le château de Fournoux (Champagnat)

 

Le château Bodeau (Rougnat)

Le château de La Chassagne (Saint Hilaire le Château)

 

Le château de Châtain (Arfeuille-Châtain)

Le château de Bourganeuf

 

Le château de Mansat la Courrière

Le château de La Chapelle (La Chapelle Saint Martial)

Le château de Jouillat

Le château de Saint Germain Beaupré

Le château du Théret (Sainte Feyre)

Le château du Masgelier (Le Grand Bourg)

 

Le château de l'Age au Seigneur (Le Grand Bourg)

Le château de Ligondeix (Chambonchard)

Le château de Sazeirat (Arrènes)

Le château de la Dauge (Ladapeyre)

Le château de la Terrade (Jalesches)

Le château de Moisse (Bêtète)

Le château d'Ecosse (Bêtète)

Le château Pointu (La Cellette)

Le château de Puyguillon (Fresselines)

Château appartenant au XIVe siècle à la famille de La Marche, Antoine de La Marche, seigneur de Puy Guillon, par acte reçu Paslin, notaire, le 11 février 1634, déclare et confesse tenir et posséder en fiefs et hommage franc et lige du roi, à cause de son comté de la Marche et de sa châtellenie de Crozant plusieurs objets immeubles, domaines, etc, et le droit singulier énoncé dans l'acte: "Plus, a ledit écuyer droit d'être appelé le premier aux foi et hommage, et lui est permis toutefois et quantes mondit seigneur féodal voudra prendre la possession et saisie de son châtel et châtellenie de Crozant, ledit seigneur de Puy-Guillon peut et doit aller en grande révérence jusqu'au grand cimetière dudit Crozant et aller le saluer comme son seigneur féodal..." Le château est formé d’un corps de logis rectangulaire, l’angle nord est flanqué d’une grosse tour circulaire surmontée de trois lucarnes, supportées par trois corbeaux. L’angle sud est flanqué d’une tour ronde, plus petite. Au milieu de la façade, on trouve une tour d’escalier en saillie. La porte, placée au nord, à un linteau en accolade, timbré de l’écusson de la famille de la Marche. Cette tour présente, au deuxième étage, une petite fenêtre en accolade.

 

Le château de Vervix (Fresselines)

Le château de La Chapelle Baloue

Le château de Lasvy (Champsanglard)

Le château Beauvais les Lions (Bonnat)

Ce fief a appartenu à la famille d’Aygurande, en Berry, de 1438 à 1718. En 1651, le château appartenait à Gilberte de la Court. Son fils François d’Aygurande était, écuyer, seigneur de Beauvais. En 1659, le fief était en possession de Charlotte de Saint Maur. En 1770 le château passa à la famille de Saint julien, dont Gilbert était baron de Saint Vaury, vicomte de Bernage. Jeanne Bertrand Dame de Beauvais, porta la baronnie à Etienne de la Celle. Celui-ci la donna à son neveu Valéry d’Argier baron de Saint Vaury, Malval, vicomte de Bernage. C'est Anne de Saint Maur qui va régner sur Beauvais suite à un héritage. A la Révolution, son époux s'exile, mais il revient en France pour rejoindre son épouse. Malheureusement, il est reconnu, puis arrêté et jugé à Guéret en qualité d'émigré revenu en France, il est déclaré coupable et guillotiné le 27 août 1793.

Le corps de logis est en retour d’équerre flanqué de trois tours circulaires. L’une, à l’angle extérieur, donne sur une cour. Les deux autres sont placées à l’arrière du bâtiment.

Le château Grandsagne (Bonnat

Ce fief dépendait de Malval. En 1340, Jean de la Marche est appelé vicomte de Grandsagne. Son fils Hugues fut, après lui également seigneur de Grandsagne. Il fonda, à Bonnat, la chapelle Saint-Sylvain où tous les seigneurs de Grandsagne et les successeurs, furent inhumés. Hugues de Grandsagne laissa ses biens le 13 avril 1404 en part égales à ses deux fils : Louis et Jean. Louis, l’aîné, dit "Perceval", devint seigneur de Grandsagne, de Beaumont et du Mondon. Son fils épousa en 1420 Catherine de Villaines et eurent une fille, Marie de la Marche. En 1452, elle se maria à Henry d’Ajasson, écuyer, seigneur de Vost...

 

Le château Mornay (Bonnat)

Le château de Mornay appartenait à la famille de Mornay. Sylvain de Mornay était seigneur de Bonnat en 1674. Il épousa Gabrielle de Noblet. Au début du XIX siècle, l'édifice fut racheté par le comte de Jules Henri Beaufranchet. Son neveu le fit restaurer en 1855. Construit au XVIe siècle, le château de Mornay se compose d’un corps de logis en retour d’équerre, il est flanqué de deux tours carrées en avant-corps. Les deux tours rondes sont en prolongation de bâtiments plus récents.

château de Mornay 23220 Bonnat, tél. 05 55 62 41 78,

Le château de la Baconnaille (Auriat)

Le château de Marsat (Chambon sur Voueize)

Dans l’armorial de Guillaume de Revel, Marsat est vu du sud, plus ou moins en ruines, avec de hauts murs et des échauguettes aux angles. Celles-ci ont été remplacées par quatre tours au XVIe siècle (les deux demi-croisées à traverse et chambranle moulurés datent de cette époque); il n’en reste que deux aujourd’hui. Il est vraisemblable que le château fut érigé par un seigneur chargé de la protection du monastère, vers le début du XIIe siècle, mais ce n’est qu’au milieu du XIIe que l’on voit apparaître un seigneur laïc de Marsat. Le château fut partiellement détruit en septembre 1590 par les royalistes, les habitants ayant pris fait et cause pour le Ligue; puis démantelé à partir de la Révolution. En 1465, lors de la guerre du Bien public, Louis XI séjourna à Marsat, et François 1er au XVIe siècle.

La municipalité s’est attachée à dégager les ruines du château de la végétation; y sont organisées depuis une dizaine d’années les Journées de la pierre. Sanctuaire marial sur le chemin de Saint-Jacques, Marsat, inclus dans le pays d’art et d’histoire du pays de Riom, est classé Site clunisien.

Le château de Relibert (Evaux les Bains)

Le château de Relibert a été vraisemblablement construit au XIXe siècle. La demeure est située dans un parc de huit hectares avec un bel étang, c'est un lieu de pléinitude à Evaux les bains. Ne pas oublier de visiter sur cette commune d'Evaux les bains ; les Rochers de Bord, l'Abbatiale Saint-Pierre-Saint-Paul, les Gorges du Chacros et le Viaduc de la Tardes.

Le château de Monterolle (Evaux les Bains)

 

Le château du Layris (Basville) 

  Le château du Leyrit a été construit dans la première moitié du XVIIe siècle ; armoiries martelées au-dessus de la porte d'entrée; aménagements intérieurs dans le deuxième quart du XVIIIe siècle; remaniements et adjonctions deuxième moitié XIXe siècle. Château comprenant un étage carré et un étage de comble. Gros-oeuvre : granite; moellon et enduit partiel. Toit à longs pans et toit en pavillon.

 

Le château de Villefort (Sainte Feyre la Montagne)

Le château est formé d'un corps de logis rectangulaire, flanqué d'une tour circulaire à chacun des angles ouest, et d'une échauguette sur cul-de-lampe à chacun des angles Est. La façade principale s'ouvre sur une cour ornée d'un bassin central. A gauche du portail d'entrée se trouve une construction rectangulaire servant de chapelle. Les constructions des communs, refaites en presque totalité, s'étendent vers l'Est jusqu'à une tour circulaire. Cet édifice de la fin du XVIe siècle succède à un château plus ancien.
Eléments protégés MH : l'ensemble des façades et des toitures du château et de sa chapelle: inscription par arrêté du 17 mars 1964.

 

Le château de Thézillat (Faux la Montagne)

Le château de Thézillat a été construit à la fin du XIXe siècle, au sud de l'emplacement d'un ancien château mentionné sur le cadastre de 1834 et démoli entre 1834 et la fin du XIXe siècle. Château comprenant un sous-sol, un rez de chaussée et un étage carré. gros-oeuvre: granite ; pierre de taille ; moellon et enduit partiel ; tourelle en surplomb sur angle. Toit conique couvert d'ardoise. Dans le parc, four à pain ; étable et grange.

Le château du Bost (Magnat l'Etrange)

Le château de Thézillat a été construit à la fin du XIXe siècle, au sud de l'emplacement d'un ancien château mentionné sur le cadastre de 1834 et démoli entre 1834 et la fin du XIXe siècle. Château comprenant un sous-sol, un rez de chaussée et un étage carré. gros-oeuvre: granite ; pierre de taille ; moellon et enduit partiel ; tourelle en surplomb sur angle. Toit conique couvert d'ardoise. Dans le parc, four à pain ; étable et grange.

Le château du Bost a été construit vers 1300 par Laurent du Plantadis. Grande restauration vers 1900 par le marquis d'Ussel. 1579: inscrit au dessus de la porte d'entrée (pierre en remploi ?).

Vers 1550, Jacques de Rochedragon, seigneur de Vissart, près de Montmorillon, époux de Marguerite de Chaslus, était seigneur du Bost. Le 16 novembre 1550, ses héritiers vendirent la seigneurie à Gabriel de Plantadis. En 1661, Yves Meusnier, seigneur du Bost, marie sa fille Anne, à Nicolas Tixier, écuyer, qui devient plus tard seigneur du Bost. En 1750, Marguerite Tixier, dame du Bost, épousa François de Fressanges. Au début du XIXe siècle, le château devint propriété de la famille d'Ussel par mariage de Melle Fressanges et du marquis Marien d'Ussel, grand-père de la propriétaire actuelle.

Le château d'Arfeuille (Felletin)

   Le château d'Arfeuille est implanté à environ 2 km à l'est de la ville de Felletin, à 674 m d'altitude, sur un plateau boisé offrant des vues étendues vers l'ouest, au-delà de la vallée de la Creuse. Le château proprement dit est composé de trois principaux corps de bâtiment : un corps de logis central orienté nord-est/sud-ouest, accompagné par une forte tour circulaire sur son angle nord ; un vaste donjon rectangulaire partant de l'extrémité sud-est du corps central et formant retour vers le sud-ouest ; un bâtiment allongé formant également retour à partir du nord-ouest du bâtiment central. Un grand espace, formant cour et jardin régulier, s'étend au devant de ces bâtiments ; il est fermé au sud-ouest par un muret de clôture surmonté de grilles avec portail central à deux piles. En retour vers l'est, deux grands bâtiments autrefois constitués de grange-étable, garage, logement au nord et de grange-étable, remise, écurie au sud, limitent l'espace de part et d'autre du jardin régulier ; le bâtiment nord est accompagné à ses abords par quelques dépendances domestiques (four à pain et puits) ; le bâtiment sud est prolongé par une clôture séparant le jardin régulier d'un grand jardin potager.

château d'Arfeuille 23500 Felletin. Tél. 05 55 66 40 40, ouvert de juin à septembre de 14h à 18h30, le matin sur rendez-vous (jardins remarquables). Visite guidée : 15h30 et 17h

Le château de Mas Laurent (Croze)

Le château de Blessac

 

Le château Rechautier (La Chaussade)

Le château de l'Etang (La Chaussade)

 

Le château de Saint Maixant

Saint Maixant fut d'abord une seigneurie ayant haute, moyenne et basse justice, dépendant de la châtellenie d'Aubusson. Elle devint marquisat en 1615. En 1270 s'y installa la branche cadette des La Roche Aymond. L'édifice actuel a probablement remplacé une ancienne forteresse. Il a été construit vers la fin du XIVe ou au début du XVe siècle. Son plan reprend celui de la plupart des châteaux de la Haute Marche, quadrilatère comprenant, à chacun des angles de la façade Est, deux tours rondes. La façade ouest s'appuie sur une tour carrée en saillie, plus élevée que le corps de logis et renfermant un escalier à vis de 120 marches. Un chemin de ronde commande toutes les murailles du logis et défend les tours, il possède meurtrières et mâchicoulis. Les douves subsistent en partie, à l'est. A l'ouest le château est précédé d'une cour d'honneur s'ouvrant par une grille du XVIIe siècle. A l'intérieur, les appartements ont été partiellement refaits au XVIIIe siècle, le rez de chaussée comporte deux pièces voûtées en berceau. La tour sud renferme une chapelle qui a été transformée.

Les ruines du château d'Aubusson 

  Chef-lieu d'une vicomté à l'époque carolingienne, fut réuni à la Marche en 1260 par Hugues de Lusignan, comte de la Marche. Les vestiges du donjon du XIe siècle dominent le site et marquent les origines anciennes de cette cité les vicomtes d'Aubusson élevèrent, vers le Xe ou le XIe siècle, un donjon sur l'emplacement d'un castellum romain. Le plan des fortifications fut développé trois siècles plus tard. Entre 1470 et 1475, Jacques d'Armagnac, comte de la Marche, fit élever un corps de logis. La forteresse, à peu près entièrement rasée en 1632 sur ordre de Richelieu, occupait la terrasse et avait la forme d'un ovale allongé. En 1673, s'installa dans les ruines le chapitre collégial du Moutier-Rozeille, transféré à Aubusson, et qui donna son nom à la colline. L'ensemble des ruines est constitué par un pan de mur sud et une partie du pan de mur ouest des constructions de 1470-1475.